Chez toi, au chaud, pas le choix. Tu veux écouter du bon son, normal. Les Confisounds de Sparse, c’est la bande originale de ton confinement. Des playlists de musique qualitative. Tous les 2 jours, 10 titres «soleil» pour un contributeur de Sparse.
Surfin’ bird – The Trashmen (1963)
Parce que c’est la guerre, c’est le président de la France qui l’a dit. Vu qu’on est troisième exportateur d’armes au monde, là on a du stock, des réserves, c’est sûr on va gagner.
Exit To Chatagoune Goune – Hubert Félix Thiéfaine (1982)
Comment se laisser aller à une romance sensible et subtile dans cette ambiance post apocalyptique punk de confinement moisi ?
Partyman – Prince (1988)
Parce que le Joker slashe des toiles de maîtres au rasoir dans Batman, et qu’on pourrait tous se laisser aller à craquer de cette manière si on était confiné par exemple dans un musée des beaux-arts…
Petit caniche, peluche pour vieux – Didier Super (2004)
Didier nous donne beaucoup de bonnes raisons de ne pas vouloir sauver l’humanité, et surtout pas les vieux qui ont des caniches, bordel de vieux.
It’s Ecstasy When You Lay Down Next to me – Barry White (1977)
L’époque où tu t’allongeais à côté d’un corps de manière aussi sensuelle que possible, et sans te soucier de savoir si tu risquais de choper une saloperie de virus ou la chtouille, c’est du passé révolu.
Standing on the verge of getting it LIVE – George Clinton / Funkadelic (1974)
George Clinton avec ses orchestres composés d’au moins 30 musicos, 25 danseurs et 40 choristes, et tous le matos qui va avec, n’aurait jamais pu être engagé sur le Titanic.
Shohmyoh – Akira soundtrack – Geinoh Yamashirogumi (1988)
L’Asie ne nous envoie pas que des coronavirus de merde. Ce morceau tiré de la BOF d’Akira, manga des années 80 qui prédisait déjà l’annulation des Jeux Olympiques à Tokyo va t’emmener assez loin si tu fermes les yeux et que tu te laisses transporter…
Il voyage en solitaire – Alain Bashung (2008)
La dernière chanson de Bleu Pétrole, La dernière chanson de Bashung.
Happy people – The Temptations (1975)
Tirez les rideaux, allumez la boule à facettes ! C’est la fête, on oublie tout et on recommence !
Run like hell LIVE – Pink Floyd (1979)
Et pour finir sur quelques bonnes notes, laissons les Pink Floyd et David Gilmour nous accompagner en enfer.