Dièse, jour 4. On a passé un bon moment devant l’installation « Les mécaniques poétiques » d’EZ3kiel, on a bu beaucoup de Kro et on a traîné pas mal de temps aux toilettes de la cour de Flore.
Pour visionner le compte-rendu vidéo de Guls, ça se passe ici.
Les Mécaniques Poétiques. Hôtel de Vogüé.
L’orgue à flacons (verrophone à air)
Les cordes sensibles (machine à tisser musicale)
Les cordes sensibles (machine à tisser musicale), encore.
Le cycloharpe (machine à coudre musicale)
Un bel éphèbe s’essaie à l’instrument.
René a mis le feu à la chapelle des élus.
Instant de recueillement en compagnie de la Madone Theremin.
Gaétan, maître des lieux et membre de l’asso Take Off, nous montre comment maîtriser le bazar.
Les courses, vous le savez, c’est ma grande passion. Omar Sharif était là.
Hyphen Hyphen, maquillés comme des mohicans, devant un joli public.
Coucou les twittos.
La finesse du public du festival.
Le look le plus hipster de la soirée.
Le porte-monnaie le plus hipster de la soirée (et de Dijon).
Paie ta canette, papa !
Interview d’Hyphen Hyphen, après le concert. Radio Dijon Campus (ici représentée par Martial Ratel) a oublié ses questions. L’effroi se lit sur son visage.
Le point noir de la cour de Flore. Tu as bu 7 Kronenbourg. Tu es allégé de 14 euros. Tu veux donc soulager ta vessie. Fail, il y a déjà 7 personnes qui attendent. De plus, la porte une fois fermée après la personne te précédant, les toilettes passent en mode lavage automatique. On a chronométré : environ 120 secondes le lavage. Ca fait beaucoup à attendre, après 7 Kronenbourg.
Le résultat du lavage automatique. Ca valait le coup d’attendre.
La seule photo qu’on ait de la performance d’IRMAR au Grand Théâtre. Merci à Elsa Girard.